Rendre compte de mon activité de formateur

De M@gistère
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Pourquoi est-ce difficile ?

Un formateur en fonction de sa situation est amené à rendre compte de son activité de formateur à des acteurs différents : l’inspecteur commanditaire de la formation, le service académique de formation, etc. De ce fait, les attentes envers un compte-rendu sont différentes (quantitatif, qualitatif).

De plus, rendre compte d’une formation de manière formelle n’est pas encore entré dans la culture professionnelle des formateurs du second degré.

Enfin, la formation hybride réunit des modalités différentes alors que précédemment il n’y avait qu’une modalité présentielle. De même, la partie préalable à l'animation de la formation peut correspondre soit à une conception in extenso soit à une appropriation d'une formation conçue par d'autres. Les rôles sont aussi différents (formateur-concepteur, formateur-tuteur), parfois réunis chez une seule personne, parfois répartis sur des équipes.

Quels sont des principes de l’action ? 

De quoi cherche-t-on à rendre compte ?

- Envers l'institution, dimension quantitative liée aux ressources humaines mobilisées, à la charge financière de l'activité.

- Envers les inspecteurs commanditaires, dimension qualitative liée aux objectifs initiaux et des objectifs réellement atteints, etc.

La formation s'étalant dans une durée et en fonction du cadrage initial, le formateur doit réunir les informations qui permettront d'établir le compte-rendu final.

Dans le cas d'un parcours déjà conçu, le livret du formateur mentionne de manière indicative les volumes horaires de l'appropriation du parcours, de la contextualisation.

Quels sont les outils à la disposition des formateurs ?

La barre de suivi de formation

Le questionnaire final

Quels sont les pièges à éviter ?

Comment progresser collectivement sur ce point ?